Tu te trouves gênant en conversation ? Tu as déjà reçu des remarques comme quoi ton comportement n’était pas approprié ? Ou alors tu es simplement curieux de savoir comment être plus malin socialement ?
Alors tu es au bon endroit pour apprendre à engager une discussion avec quelqu’un. Et faire en sorte que cette dernière soit agréable pour les 2 parties.
Lorsque nous sommes engagés dans une conversation, il est essentiel de veiller à notre comportement et à notre langage pour créer une interaction agréable et constructive.
Malheureusement, il arrive parfois que nous commettions des erreurs qui peuvent rendre une conversation gênante ou inconfortable pour les autres participants.
Dans cet article, nous explorerons quatre comportements à éviter lors des conversations, en mettant l’accent sur le langage corporel négatif, la monopolisation de la conversation, le manque d’écoute active et les commentaires insensibles.
Mais avant tout, tu peux regarder cette vidéo qui te donneras des conseils similaire. N’oublie pas de t’abonner et de suivre la chaine YouTube par le même occasion.
1- Le langage corporel négatif, l’erreur la moins gênante
Le langage corporel joue un rôle crucial en conversation. En communication, les signaux négatifs peuvent être perçus par nos interlocuteurs, même sans forcément le savoir. Et cela influence énormément la qualité de la conversation.
Deux comportements spécifiques à éviter : sont le manque de contact visuel et les gestes de défense.
Le manque de contact visuel crée une barrière émotionnelle entre les personnes. En évitant de regarder les autres dans les yeux, nous donnons l’impression de désintérêt ou de manque de respect. Maintenir un contact visuel adéquat démontre notre engagement dans la conversation et notre considération envers les autres participants.
De plus, les gestes de défense, tels que croiser les bras ou reculer légèrement, peuvent être interprétés comme de l’hostilité ou du désaccord. Lorsque nous adoptons ces positions, nous mettons une distance physique et émotionnelle entre nous et les autres, ce qui nuit à l’établissement d’une connexion sincère.
2- La monopolisation de la conversation
Deuxièmement , et j’en parle en détails dans la vidéo, trop parler !
La monopolisation de la conversation est un comportement qui peut frustrer et aliéner les autres participants.
Deux formes courantes de monopolisation sont le fait de parler trop de soi-même et d’interrompre constamment les autres.
Parler trop de soi-même peut donner l’impression que nous sommes égocentriques ou peu intéressés par les autres.
Une conversation réussie repose sur un échange équilibré où chacun a l’occasion de partager ses idées et ses expériences.
Enfin, écouter activement les autres et poser des questions pertinentes permettent d’éviter d’être trop focus sur soi. Vous savez cette tendance à se centrer uniquement sur soi-même.
De même, l’habitude d’interrompre les autres démontre un manque de respect et d’écoute.
Cela coupe la parole à nos interlocuteurs, les empêchant de s’exprimer pleinement.
En donnant l’opportunité à chacun de parler sans interruption, nous favorisons une atmosphère de respect mutuel et d’ouverture d’esprit.
3- Le manque d’écoute active
L’écoute active est une compétence essentielle pour une conversation réussie.
Malheureusement, il est courant de se laisser distraire ou de se concentrer davantage sur la préparation d’une réponse plutôt que d’accorder une attention réelle à ce que dit notre interlocuteur.
Et par conséquent, il y a 2 problèmes fréquents liés à un manque d’écoute active :
- les distractions et
- le fait de préparer une réponse plutôt qu’écouter
Les distractions, comme les téléphones portables ou les pensées parasites, peuvent nous éloigner de la conversation en cours. Lorsque nous ne sommes pas pleinement présents, nous manquons des informations importantes et envoyons le message que nous ne nous soucions pas de ce qui est dit.
De plus, se concentrer sur la préparation d’une réponse plutôt que d’écouter attentivement peut nous faire manquer des détails importants et nuire à la fluidité de la conversation.
Une approche plus efficace consiste à se concentrer sur les paroles de notre interlocuteur, à poser des questions pour approfondir la compréhension et à réfléchir avant de formuler une réponse.
4- Les commentaires insensibles
Enfin, les commentaires insensibles peuvent également créer des moments gênants dans une conversation.
Deux types de commentaires à éviter sont les blagues inappropriées et les commentaires critiques.
Les blagues inappropriées peuvent blesser ou offenser les autres participants.
Ce qui peut sembler drôle pour certains peut être perçu comme irrespectueux ou discriminatoire pour d’autres.
Il est essentiel d’être conscient de notre public et d’éviter tout commentaire qui pourrait causer de la peine ou créer une atmosphère tendue.
De même, les commentaires critiques peuvent être perçus comme négatifs et dévalorisants.
Ils peuvent décourager les autres participants à s’exprimer et à partager leurs idées.
Il est préférable de favoriser un environnement de soutien et d’encouragement, où chacun se sent en sécurité pour s’exprimer librement.
Conclusion pour ne plus être gênant en conversation
En conclusion, il est essentiel de prendre conscience des comportements qui peuvent rendre une conversation gênante et inconfortable.
En évitant le langage corporel négatif, la monopolisation de la conversation, le manque d’écoute active et les commentaires insensibles, nous pouvons favoriser des interactions harmonieuses et authentiques.
Lorsque nous adoptons un langage corporel ouvert et engageant, en maintenant un contact visuel sincère et en évitant les gestes de défense, nous créons une atmosphère de confiance et d’intimité. Cela permet aux autres participants de se sentir écoutés et valorisés, renforçant ainsi les liens entre les individus.
De plus, en évitant de monopoliser la conversation, en donnant à chacun l’occasion de s’exprimer et en pratiquant une écoute active, nous encourageons une participation équilibrée et une compréhension mutuelle. Une conversation réussie nécessite une véritable attention à ce que dit l’autre, ainsi qu’une curiosité sincère pour connaître ses pensées et ses sentiments.
Cultiver notre intelligence sociale nous permet de développer des relations plus profondes et significatives. Cela nous aide à comprendre les émotions des autres, à interagir avec empathie et à établir des connexions authentiques. En continuant à explorer et à pratiquer l’intelligence sociale, nous enrichissons notre vie sociale et contribuons à un monde où les conversations sont des occasions d’épanouissement et de compréhension mutuelle.
Ouvrons nos horizons vers d’autres sujets liés à l’intelligence sociale, tels que la gestion des conflits, la communication non verbale, l’empathie et la construction de relations positives. En approfondissant ces domaines, nous pouvons continuer à développer notre compréhension des interactions humaines et à améliorer nos compétences relationnelles.
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