🏆 POWER : 48 LOIS DE POUVOIR DE ROBERT GREENE

Bonjour à toi futur leader de la communication. On se retrouve aujourd’hui à l’occasion d’un nouveau résumé de livre. J’aimerais te présenter Power : 48 Lois de pouvoir de Robert Greene, un écrivain amoureux de l’histoire et de la littérature. Cet auteur a rédigé un grand nombre d’ouvrages, notamment sur la séduction, la psychologie, la communication et le leadership. J’ai donc sélectionné pour toi 6 principes essentiels parmi les 48 abordés dans ce bouquin. Ces principes sont selon moi les plus intéressants, mais aussi les plus complémentaires aux résumés de livres que j’ai déjà réalisés auparavant. En effet, parmi les 48 lois de pouvoir de Robert Greene, on retrouve plusieurs principes issus de l’Art de la Guerre de Sun Tzu. Voici donc l’analyse d’un des meilleurs livres pour devenir un leader.

1. Ne jamais surpasser son maître

Cette loi insinue que tu dois toujours rester dans l’ombre des personnes qui se trouvent au-dessus de toi, ou qui pensent l’être. Prenons un exemple pour illustrer ce principe. Tu es employé dans une entreprise dans le secteur de la communication. On vient féliciter ton service pour votre dernier projet qui a très bien fonctionné, et on se demande qui est à l’origine de cette idée. Il ne va pas falloir que tu te mettes en avant et que tu t’attribues les mérites du projet si tu es en la présence de ton manager. En effet, techniquement, il est mieux placé dans la hiérarchie que tu ne l’es. Te mettre en avant va le renvoyer dans une position inférieure à la tienne et tu risques de te mettre en porte-à-faux pour l’avenir.

Selon moi, tu as deux cas de figures. Tu peux te placer à un niveau supérieur de ton maître de manière volontaire, ou non. Tu es peut-être naturellement plus à l’aise à l’oral, plus éloquent, plus charismatique, plus confiant ou plus entreprenant que ton maître. Si tu arrives à t’en rendre compte, je te suggère d’essayer de mettre cela de côté en sa présence.

2. Remporter la victoire par ses actes : 2e loi des 48 lois de pouvoir de Robert Greene

Ce principe reprend la loi numéro 9 de Robert Greene : remporter la victoire par ses actes et non par son discours. Une fois de plus, on fait référence au mystère, au fait de ne pas étaler ses plans à travers de beaux discours. Une autre citation de motivation qui illustre bien ce principe et qui me plaît beaucoup est la suivante : “Laissez parler vos résultats à votre place et laissez vos résultats faire du bruit.”.

3. Miser sur l’intérêt collectif

Nous passons à présent à la loi numéro 13 du livre. Elle nous explique qu’il vaut mieux miser sur l’intérêt collectif plutôt que sur la pitié ou sur la reconnaissance. Comme j’aime souvent le dire, personne n’est l’Abbé Pierre, si ce n’est lui-même. Lorsque tu vas partir en négociation, tu ne dois pas t’attendre à ce que l’on ait de la reconnaissance ou de la générosité envers toi. Bien évidemment, nous avons tous un côté généreux, mais on ne peut pas miser sa carrière ou son futur sur ce principe. Il est plus intéressant de miser sur l’intérêt collectif. Si tu es en entretien d’embauche et que l’on te demande pourquoi il faudrait te choisir toi et pas un autre, tu ne peux pas dire : “Prenez-moi car je n’arrive pas à trouver de travail.”. De cette manière, tu as très peu de chances d’être choisi. Tu dois plutôt miser sur l’intérêt de ton interlocuteur.

4. Garder les mains propres : 4e loi des 48 lois de pouvoir de Robert Greene

Passons à présent à la 26e loi des 48 lois de pouvoir de Robert Greene. Cette loi vise à sensibiliser les personnes afin d’éviter qu’elles ne s’intéressent à de sombres domaines tels que les arnaques. Prenons l’exemple d’une personne souhaiterait se rabaisser à cela. Elle prendrait soin de faire appel à une tiers personne pour réaliser la mauvaise part du travail. Elle ne se salirait pas les mains. Dans aucun cas elle souhaiterait être rattachée aux mesquineries.

Ceci est la vision de l’auteur. Bien évidemment, pour ma part je te déconseille de te rapprocher de ce type de comportement, de près ou de loin. Reste digne dans tes propos et dans tes actes.

5. Savoir maîtriser son temps

Nous passons à présent à la loi 35 qui nous parle de la maîtrise du temps. Selon moi, c’est peut-être la notion la plus essentielle. En effet, le temps va au-delà de l’argent et de l’énergie. Une personne qui sait bien maîtriser son temps est une personne qui est capable d’aller loin dans la vie. Si nous sommes tous égaux sur quelque chose, c’est sur le nombre d’heures que nous avons dans une journée. La différence entre deux personnes se fait donc dans la capacité de maîtriser le temps, de savoir s’organiser et d’être efficace, ou non. Maîtriser son temps c’est être en mesure de prendre sa vie en main et de la manier à son souhait.

C’est notamment le cas en communication. Une personne qui ne maîtrise pas son temps de parole ou ne parle pas au bon moment, est une personne qui ne sera pas bonne oratrice.

6. Mépriser les contrariétés

Il y a beaucoup de facteurs susceptibles de te contrarier au cours de ta journée. Toutefois, si tu souhaites être un bon leader, tu dois apprendre à gérer cela. En effet, un leader est une personne qui méprise les petites contrariétés de la vie. En effet, te focaliser sur des petits problèmes est le bon moyen de leur accorder une importance démesurée. Cela peut-être envenimer davantage ce problème. Pour illustrer cela, tu peux imaginer que tu as une petite égratignure. Te focaliser sur celle-ci va peut-être t’amener à la toucher ou à la gratter, ce qui est le meilleur moyen pour aggraver l’état de cette petite blessure.

Power : 48 lois de pouvoir de Robert Greene – Résumé du livre