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Bonjour à toi futur leader de la communication. On se retrouve aujourd’hui pour aborder le sujet du storytelling.

Quelle est la dĂ©finition de storytelling ? Qu’est-ce que contient un bon storytelling ? Comment l’utiliser efficacement en communication orale ou Ă©crite ? Quels sont les adjectifs qui qualifient le storytelling ? Comment le structurer ?

Afin de t’aider Ă  rĂ©pondre Ă  toutes ces questions, j’ai crĂ©Ă© en plus de cet article, une formation exclusivement dĂ©diĂ©e Ă  ce sujet : la formation Storytelling 2.0. Je te prĂ©sente son contenu en bas de page.

 

Définition du principe de raconter des histoires : 

MalgrĂ© le terme anglais utilisĂ©, qui rend pour certain sa comprĂ©hension difficile, la dĂ©finition de ce terme marketing utilisĂ© en communication, est trĂšs simple. Le storytelling c’est simplement le fait de savoir raconter une histoire.

Cette notion n’a rien de nouveau car le storytelling est pratiquĂ© depuis que l’homme sait parler. On raconte des histoires aux autres, aux enfants et on les Ă©coute aussi.

La plupart d’entre-nous connaissons le storytelling depuis que nous sommes petits, car on nous racontait des histoires. Ce rattachement à l’enfance est l’une des raisons pour lesquelles il est efficace.

En effet, si tu souhaites relancer une conversation, le fait de dire “Je vais vous raconter une histoire” peut captiver l’attention. Cela est notamment dĂ» au fait qu’une histoire est rythmĂ©e, divertissante et qu’elle transmet des Ă©motions.

 

3 adjectifs pour caractériser la définition du storytelling

J’ai sĂ©lectionnĂ© pour toi 3 adjectifs issus de ma formation, qui dĂ©finissent trĂšs bien le storytelling selon moi. Bien Ă©videmment, cette liste est non-exhaustive car il en existe beaucoup d’autres. Tu retrouveras le reste d’entre eux au sein de la formation.

  1. Dynamique : pour que ton storytelling soit dynamique, il faut qu’il y ait de l’action. Tu dois raconter des pĂ©ripĂ©ties. Si tu souhaites raconter une histoire qui ne contient pas cette premiĂšre caractĂ©ristique, il vaut probablement mieux t’abstenir de la raconter. Par exemple, tu ne peux pas simplement dire “Hier j’ai pris le train”. Ce serait trĂšs ennuyant pour ton interlocuteur. En revanche, tu peux dire que tu as pris le train, que tu t’es trompĂ© d’arrĂȘt et que tu as rencontrĂ© quelqu’un qui s’est gentiment proposĂ© de t’amener Ă  la prochaine gare. Dans le second cas, il y a plus d’actions et d’intĂ©rĂȘt.

  2. Suspens : tu ne dois pas dĂ©voiler d’un coup l’intĂ©gralitĂ© de ton histoire Ă  ton auditoire. Tu dois crĂ©er du suspens et garder pour toi quelques pĂ©ripĂ©ties, ainsi que le dĂ©nouement de l’histoire. Cela a pour but de tenir ton public en haleine.

     

  3. Clair : tu dois avoir une moralitĂ© ou un objectif prĂ©cis pour ton public (faire rire, convaincre, Ă©mouvoir, etc.). Peu importe ton objectif, tu dois le garder jusqu’à la fin et construire ton dialogue et ta communication autour de ce dernier. La personne qui est en face de toi ne doit pas se dire “Pourquoi est-ce qu’il est en train de me raconter cela ?”. 

 

La bonne utilisation du storytelling

Selon moi, il y a beaucoup de façons de raconter des histoires, et beaucoup de situations dans lesquelles le faire.

Toutefois, tu apprendras qu’il y a des moments plus opportuns que d’autres pour utiliser le storytelling. Ce type de discours est d’autant plus intĂ©ressant lorsque tu dois crĂ©er une histoire avec une moralitĂ© impactante et puissante.

Par exemple, cela peut ĂȘtre Ă  travers l’explication d’un concept issu d’un livre : comment as-tu eu ce livre ? Qui te l’a offert ? Quelle est la moralitĂ© du bouquin ? Dans quelles conditions l’as-tu lu ?

Toutes ces questions peuvent te permettre de faire un storytelling, et surtout de marquer efficacement l’esprit des personnes qui t’écoutent.

Tu peux aussi utiliser ce type de discours pour vulgariser et dĂ©complexifier certains principes. Si tu fais une prĂ©sentation sur un principe de physique ou biologique complexe, tu peux utiliser le storytelling pour rendre le sujet accessible Ă  ton public (qui n’est peut-ĂȘtre pas expert).

Bien évidemment, tu peux aussi utiliser le storytelling pour raconter ta propre histoire. Quelles sont tes valeurs ? Quel est ton passé ? Quel sera ton futur ?

Nous arrivons au terme de cet article sur le storytelling. Si tu souhaites aller plus loin dans l’apprentissage, je t’invite Ă  suivre ma formation Storytelling 2.0 qui est d’ores et dĂ©jĂ  disponible.

Cette formation regroupe presque 3 heures de vidĂ©os rĂ©alisĂ©es dans le but de t’aider Ă  devenir un expert du Storytelling, c’est-Ă -dire Ă  raconter de bonnes histoires.

Tu vas pouvoir découvrir :

  • la structuration d’un bon storytelling ;
  • les diffĂ©rentes techniques pour le structurer ;
  • les commandements essentiels Ă  mettre en place ;
  • des analyses d’orateurs qui utilisent ce principe, etc.

Je vais donc t’aider Ă  amĂ©liorer ta communication verbale, mais aussi non-verbale, car cette derniĂšre est trĂšs importante dans le storytelling.